Crypto US : rencontre clé avec les sénateurs démocrates sur la régulation

La semaine s’ouvre sur un face-à-face rare entre Washington et les géants de la crypto. Une table ronde au Sénat, conduite par la démocrate Kirsten Gillibrand, doit rapprocher politique et industrie autour d’un même objectif de débloquer un cadre clair, applicable, et surtout stable.

Une réunion qui peut battre les cartes

Des dirigeants de Coinbase, Ripple, Chainlink, Galaxy, Kraken, Uniswap et Circle ont été conviés mercredi à un échange à huis clos avec des sénateurs démocrates pro-crypto. L’objectif est d’entrer dans le dur avec une architecture des marchés, limitant les responsabilités et feuille de route réglementaire pour les mois à venir. Le pilotage de la séance par la sénatrice Gillibrand confirme que le dossier n’est plus cantonné aux auditions de routine.

Cette rencontre n’arrive pas par hasard. Les discussions bipartites sur un texte « market structure » se sont enrayées après la fuite d’un projet démocrate jugé trop intrusif pour la DeFi, qui a crispé l’écosystème et refroidi les républicains. De ce fait, le Congrès s’est enlisé, chacun accusant l’autre de bloquer l’agenda alors que le secteur attend des règles lisibles.

🚨SCOOP: These crypto C-suites are expected to attend a roundtable with pro-crypto Senate Democrats on Wednesday to discuss market structure legislation and the path forward:

📌Coinbase CEO @brian_armstrong
📌Chainlink CEO @SergeyNazarov
📌Galaxy CEO @novogratz
📌Kraken CEO…

— Eleanor Terrett (@EleanorTerrett) October 20, 2025

Le format table ronde crée un espace de travail. Les participants doivent plancher sur des zones grises très concrètes : obligations des front-ends DeFi, garde des actifs, et articulation SEC/CFTC. Si ce cadre de confiance tient, une voie de compromis peut émerger plus vite qu’on ne le pense.

ETF en suspens, SEC au ralenti : le timing compte

Le contexte réglementaire accentue l’urgence. En septembre, la SEC a approuvé des standards de cotation génériques. Cela permet aux bourses comme le NYSE, le Nasdaq et le Cboe de lister des ETF spot sur matières premières. Les cryptos en font partie. De ce fait, il n’est plus important de passer par le traditionnel double circuit 19b-4, ce qui raccourcit drastiquement les délais potentiels. C’est un pivot majeur, pensé pour accélérer la mise en marché des produits au-delà de Bitcoin et d’Ethereum.

Mais ce nouvel accélérateur arrive en pleine panne d’État. Le shutdown fédéral a mis l’essentiel des équipes de la SEC en veille, gélant l’examen de multiples dossiers. Les décisions attendues sur des ETF concernent notamment à Solana, XRP ou Litecoin glissent de semaine en semaine, simple conséquence d’une administration qui tourne au minimum vital. Un impact imminente sur tout le marché crypto, y compris les nouvelles préventes memecoins ? Tout est possible.

🚨🗞️NEW: Cuomo Bets on Crypto to Boost Slumping Mayoral Campaign

The former governor announced plans to establish NYC as a global crypto hub.

Plus, a handful of crypto C-Suites are set to meet with Senate Democrats on market structure this week. ⬇️https://t.co/v2WOm117li

— Eleanor Terrett (@EleanorTerrett) October 20, 2025

En outre, la transition procédurale. Après l’adoption des normes génériques, la SEC a demandé aux émetteurs de retirer leurs 19b-4 et d’ajuster leurs dépôts pour coller au nouveau cadre. Une fois l’appareil relancé, la filière pourrait repartir très vite. D’où l’intérêt stratégique pour l’industrie de fixer, dès maintenant, des lignes rouges et des garde-fous avec les sénateurs.

Adoption, sécurité, usage : ce que changera vraiment la clarté

Si la réunion aboutit à un calendrier crédible, l’effet le plus visible ne sera pas qu’un pompe épisodique. La vraie conséquence tient à l’usage. Quand les règles sont prévisibles, les plateformes investissent, les assureurs s’ouvrent, et l’onboarding des utilisateurs s’accélère. La crypto redevient un outil, pas une loterie où la conformité change au gré des tweets.

Dans ce mouvement, la garde des actifs reste centrale. Les derniers cycles l’ont bien montré avec la promesse de la DeFi n’a de sens que si l’utilisateur maîtrise ses clés. Les solutions non dépositaires, capables de fournir de la sécurité de niveau matériel sans sacrifier la fluidité, gagnent alors un avantage compétitif net.

C’est là que l’expérience compte. La prochaine vague d’adoption sera mobile-first, multi-chaînes et tolérante à l’erreur. L’utilisateur ne veut plus d’un millefeuille d’applications et d’extensions. Il veut une porte d’entrée unique, qui parle sécurité, simplicité et compatibilité avec les standards du marché.

Best Wallet : la forteresse mobile qui prépare l’après-ronde

Best Wallet s’inscrit exactement dans cette logique. Le portefeuille est non dépositaire. Vous conservez vos clés, point final. L’application combine biométrie, authentification multifactorielle et des politiques de protection inspirées du matériel, mais dans une expérience immédiate. La sécurité cesse d’être un détour.

La force du produit, c’est la mise à l’échelle. Plus de soixante blockchains prises en charge, des milliers de tokens gérés, des swaps cross-chain, du staking intégré, le suivi de portefeuilles et des NFT, et surtout un accès natif aux préventes via un launchpad intégré. En pratique, on passe de l’écosystème morcelé à un centre de contrôle. Cette simplicité est une rupture avec moins de frictions, moins d’erreurs, plus d’opportunités en temps réel.

Enfin, l’écosystème s’articule autour de la crypto BEST, actuellement en prévention. Le token agit comme accélérateur avec des frais réduits sur les swaps, priorité sur les projets du launchpad, rendements boostés en staking. Pour un investisseur qui anticipe une normalisation réglementaire aux États-Unis et une réévaluation des listings d’ETF dès la fin du shutdown, c’est une façon de se positionner pour capter l’usage plutôt que de courir derrière la potentielle. Comme toujours, faites vos propres recherches et n’investissez jamais plus que ce que vous êtes prêt à perdre. $BEST, un potentiel crypto x1000 ? Rien n’est moins sûr.

Quelle que soit l’issue exacte de la table ronde, la trajectoire est posée. Les États-Unis veulent un cadre qui tienne, l’industrie veut des règles exploitables. Entre les deux, l’utilisateur final réclame des outils sûrs et simples. Si la régulation s’éclaircit, ce sont précisément ces solutions « forteresse mobile » qui capteront la valeur, car elles transforment le signal politique en expérience quotidienne.